Coup de coeur pour les MOTION F 20 by MARTIN LOGAN !
« My heart belongs to Martin Logan » …
Focus produit sur la MOTION F 20 et un peu d’histoire …
A vrai dire, suivant cette marque quasiment depuis sa création, l’arrivée des nouvelles séries non électrostatiques (FOUNDATION et MOTION) ne m’avait pas emballé à priori, abandonnant leur technologie d’excellence mythique : L’électrostatique.
En effet quand on admet que l’électrostatique est la meilleure façon de reproduire le son et qu’on est le meilleur de la discipline, pourquoi aller fabriquer des enceintes comme tout le monde ?
Je viens de faire un test et je vous dis tout ici :
J’ai demandé à l’importateur de la marque (FRANCE MAJOR DIFFUSION) de me préparer pour tests 3 enceintes en ses locaux de GUILLERVAL, une électrostatique, l’ « ELECTROMOTION » et deux électro dynamiques la « FOUNDATION » et la « MOTION », pour en avoir le coeur net.
Une heure et demie de route pour me préparer à regretter cette empreinte carbone….
Puis une heure et demie de route retour pour essayer de rassembler mes impressions, totalement retourné dans mes convictions de l’aller …
Deux mots sur l’électrostatique pour commencer, car c’est l’histoire de MARTIN LOGAN et cela s’explique
Le principe du haut-parleur électrostatique, initié par QUAD notamment, est une membrane en mylar (similaire au cellophane de votre pot de confiture), tendue sur un châssis (stator) servant de cadre support et ce, sur toute la hauteur de l’enceinte.
Ce mylar est tendu électriquement également par une THT de quelques milliers de volts sous un très faible ampérage ce qui limite son excursion et évite tout phénomène de talonnage.
C’est ce qui confère la pureté et la transparence du son émis.
Deuxième chose à savoir, la membrane émettant dans les deux sens, vers l’avant et vers l’arrière, vous percevez le son direct du haut-parleur, mais aussi le son arrière, réfléchi sur le mur arrière de votre pièce et qui vous restitue avec quelques millisecondes de retard, l’ambiance réaliste de la salle de concert et de ses réflexions précoces (voir ici)
C’est magique, mais les trois inconvénients majeurs pour l’utilisateur, sont :
- d’une part le prix, car cette technologie a un coût,
- d’autre part l’exigence en termes de qualité d’amplification, car à ce niveau de transducteur, l’amont doit être parfait, source et amplification (comme quand on agrandit une photo de mauvaise qualité)
- enfin le positionnement dans la pièce pour permettre au mur arrière de faire fonctionner le dipôle, donc les trains d’ondes réfléchies. Votre salon n’est pas un auditorium et ce placement est parfois un sujet de longue négociation dans le foyer…
- Enfin la nécessité de la proximité d’une arrivée de courant à chaque enceinte pour alimenter le transfo chargé de polariser la membrane.
C’est ainsi que l’idée de ces nouvelles gammes « FOUNDATION » et « MOTION » voient le jour :
- D’un prix très raisonnable à ce niveau de qualité,
- Faciles à driver par la plupart des amplis (bon rendement et courbe d’impédance stable),
- Facile à intégrer avec peu d’impératifs de placement et une faible emprise au sol,
- Sans nécessité de les raccorder au courant électrique, la membrane étant tendue magnétiquement.
Et tout ceci sans renier ce qui a toujours fait la légitimité et le succès de la marque :
Réalisme sonore, transparence, profondeur de champ, vaste scène sonore, précision accrue des médium aigu.
On pourrait croire, à priori, que MARTIN LOGAN aurait retourné sa veste et ferait maintenant des enceintes comme tout le monde…
Mais en fait, non !
MARTIN LOGAN dans ces nouvelles séries ne renie pas du tout la technologie de base qui fait son succès :
Il en modifie simplement l’application par d’autres technologies hérités de son histoire !
En effet, le tweeter a ici une conception tout à fait similaire :
C’est un haut parleur à ruban, lequel, tout comme le mylar l’électrostatique, est tendu mécaniquement et électriquement par application d’une force magnétique.
On retrouve donc bien ce son si pur et précis de l’électrostatique !
Ce ruban bénéficie d’un pavillon à 80 / 90 ° horizontalement et verticalement pour palier sa petite taille et offre une dispersion, un champ de diffusion très convaincante pour l’auditeur.
Ce pavillon joue le même rôle ici de large diffuseur acoustique que les stators sur les panneaux électrostatiques
Donc, sans conteste, on reconnait parfaitement le son de famille de l’électrostatique dans ce ruban qui est son frère en technologie
Ajoutons à cela que la technologie employée dans le médium et le grave n’est pas anodine.
En effet les ESL chez MARTIN LOGAN sont des systèmes hybrides (électrostatique dans le haut du spectre et électro dynamique dans le bas) et ici le haut du spectre est pris en charge par le ruban et son diffuseur et le bas par des électro statiques, mais pas n’importe lesquels : un médium avec une membrane en fibre de verre et un grave avec une membrane en aluminium, garantissant des basses fréquences fermes et sans traînage.
Mais revenons sur ce tweeter ruban : Le « Folded Motion tweeter » de 2e génération (Gen 2)
Pourquoi retrouvons nous ici la transparence de l’ESL ?
Etudions sa composition : Tout comme sur l’électrostatique la membrane (ruban ici) est tendue entre deux équipements métalliques sous tension électro magnétique.
Il est plié en accordéon, subissant perpendiculairement les mouvements d’air du signal analogique et sa très faible masse nécessite une excursion 90% monde que sur un tweeter à dôme.
Ceci réduit la distorsion de manière significative (on s’en rendra compte dans les test d’écoute sur les transitoires) et le rend extrêmement rapide.
A la différence de l’éléctrostatique, cette tension de polarisation n’est pas fournie par de l’énergie électrique (transfo et alimentation en 220VAC) mais par un aimant extrêmement puissant en Boron neodyme, 20 fois plus puissant qu’un aimant traditionnel.
Donc si on ajoute la légèreté du ruban et la puissance de l’aimant (le moteur) on obtient une rapidité extraordinaire, notamment en régime transitoire
C’est comme un moteur puissant sur une voiture dont le châssis serait très léger.
Les accélérations sont ici traduites par les sollicitations transitoires, sur les attaques du piano par exemple, nécessitant une grande vitesse de réaction pour une parfaite reproduction du son : Précis et rapide dans les attaques et sans trainage.
Le pavillon à 80/90°, quand à lui, permet (tout comme dans les chambres de compression) de diffuser largement le son sur l’auditoire.
Une écoute habituelle avec les électrostatiques de grande surface de diffusion.
Quid alors de l’onde réfléchie que nous procurait le dipôle de l’ESL ?
Ici, c’est une onde réfléchie sur le sol qui recrée cet effet … a condition que le sol ne comporte ni tapis ni revêtement absorbant.
Focus sur la MOTION F 20
Si j’ai choisi ce modèle, c’est qu’il est sans doute le plus représentatif de la gamme.
A 4.820 € la paire, c’est accessible en termes de prix, exceptionnel en termes de résultats, d’autant plus qu’elle se contentera d’une électronique de puissance raisonnable.
Mais les modèles plus petits développent la même technologie et les mêmes qualités et seul votre budget et la taille de votre pièce d’écoute doivent vous guider (Gamme de prix entre 830 € et 2770 € dans la gamme FOUNDATION et de 1360 € à 7580 € dans la gamme MOTION)
Le modèles plus chers apporteront bien entendu une amélioration à tout point de vue.
MARTIN LOGAN est devenu un luxe accessible, un produit audiophile High End à moins de 5.000 € la paire.
Honnêtement, je ne vois pas de concurrent.
Elle existe en différentes finitions assez élégantes, mais il faut absolument la voir dans sa finition blanc mat, dans un matériau proche du CORIAN, ce qui lui donne une apparence de grande douceur même au toucher velours.
Elle est à la fois design et d’une grande élégance dans les formes et le style résolument design
Tout la fabrication révèle d’une facture de haut de gamme.
Tous les équipements jusqu’aux borniers et pieds sont ceux qui équipent habituellement les enceintes high end.
Données techniques (Puisqu’il en faut)
Dimensions : H 112 x L 29,8 x P 36,2 cette enceinte colombe est donc peu encombrante
Poids : 27 kg
Sensibilité : 92 db
Impédance : 4 ohm
Coupures : 230 et 2600 Hz
Amplification recommandée : 20 / 200 w
Tests d’écoute (Puisque c’est l’essentiel)
Me voici donc en tête à tête avec quelques enceintes et quelques amplis, m’étant muni de mes disques favoris pour pouvoir faire un test avec des enregistrement que je connais par coeur et qui me suivent partout : Ma « Detox playlist » où tout doit être au rendez-vous :
La qualité de l’oeuvre, de l’enregistrement, du mastering, du support.
Cette « armée de l’ombre » qui me suit partout et qui permet des texts de dynamique, de comportement en fréquences, de l’extrême grave , au médium et à l’extrême aigu, et surtout de scène sonore (plans sonores, positionnement de chaque instrument dans l’orchestre)
Plusieurs tests de voix aussi, certains « ingé-sons » plaçant le micro devant les lèvres, d’autres à 20 cm ou plus.
Attention aussi avec les prises de son du piano, avec dans certain cas le(s) micro(s) près de la frappe du marteau sur les cordes, d’autres à 1 mètre du piano !
Pour ne pas être trop long, je ne vous soumets que quelques tests sur les 20 que j’ai réalisés.
Test 1 : Jazz vocal – Renée OLSTEAD (1er album)
Prise de son près du micro.
La voix est limpide et naturelle, soyeuse mais incisive sur les attaques.
Dans l’intro a capella du « Summertime » c’est stupéfiant de présence et le comportement sur les transitoires de la voix sont excellents : Percutant, sec, sans traînage
Puis quand l’orchestre fait son entrée, on distingue le pincement de la corde de la contrebasse, son ampleur sans exagération, le toucher du piano parfaitement distinct sur l’attaque et la résonance, l’ensemble est pur et limpide et le grave est naturel sans qu’il ne déborde sur la voix et l’orchestre.
Aucune coloration, une restitution sonore parfaitement linéaire.
Sur cet enregistrement, l’électrostatique mis en écoute comparative, présente un léger voile sur la voix et un moindre contrôle de la basse pincée.
Mais c’est tout simplement parce qu’il fallait pour être en comparaison, monter dans la gamme d’électrostatique. Ou peut-être aussi car les conditions de placement n’étaient pas adaptées, celles ci étant déterminantes.
CQFD : Proportionnellement un électrostatique serait sans doute supérieur mais avec un différentiel de prix de 30 à 40 % et un placement plus difficile. Ce qui nous conforte donc, dans cette catégorie de prix la F 20 est une bombe !
Test 2 : Grand symphonique : Gustav MAHLER, 6e symphonie / Simon Rattle / Berliner Philharmoniker 20 juin 2018. 1er mvt – HiRes audio
L’attaque cinglante des cordes sous les coups d’archets musclés du 1er mvt, sont reproduits avec vérité.
Ils créent une atmosphère tragique ici bien reproduite avec des graves enveloppantes.
Le reste de l’orchestre arrive et chaque instrument est distinctement identifiable dans un parfait équilibre. C’est un test très dur, car dans la plupart des cas, les grosses masses sonores du symphonique ont tendance à faire un magma sonore et a masquer les identités de chaque instrument.
Dans le percussions, la timbale est ample et sèche sans écho, les timbres des cuivres sont clairs et secs.
L’impression générale est bien celle du concert, avec une reconnaissance intuitive du placement des instruments.
On peut situer aisément la présence des violons, altis et violoncelles
Même chose pour les pupitres de cuivre, trompettes, trombones et cors, ils sont en place.
J’adore ce test de profondeur de champ et de spacialisation
La dynamique quand à elle est parfaitement respectée et on sait comme les oeuvres de Mahler sont dans ce sens remarquables. Des écarts dynamiques importants entre les mouvements à consistance martiale avec les cuivres, alternant avec les lento lyriques des cordes.
Des petits effleurements d’archet sur les cordes au grandes masses orchestrales les différences de niveau sont respectées.
Test 3 : Jazz Big Band : Mickel Legrand Big Band. Verve. Plage 2 : I Will wait for you
Intro avec trombone et trombone basse très réaliste avec un grave profond mais sans trainage, puis les autres cuivres qui entrent dans le jeu avec une vraie sensation de présence.
C’est du « Super BASIE » ça sonne comme un grand big band à l’Américaine
Avec ce type d’enregistrement il ne faut pas hésiter à se mettre au niveau sonore réel d’un big band : Comme au concert un 92 db au sonomètre est un bon niveau, bien réaliste.
La encore, pas de doute, l’orchestre est bien là devant vous !
Par la suite les masses sonores et notamment le pupitre des saxophones qui intervient est très juste en timbre.
Intéressant de localiser chaque instrument spécialement dans l’orchestre, cuivres, anches, percussions, tout est à sa place. La profondeur de champ est donc bien respectée et la localisation des pupitres apparait comme une évidence. (Pour info, j’ai très légèrement orienté les enceintes vers la position d’écoute jusqu’à arriver à une belle image au centre.
Test 4 : Musique sacrée: JS BACH – La Passion selon St Jean. Akademie für Alte musik Berlin / René Jacobs. HiRes Audio
Les récitatifs sont d’une très grande intelligibilité et ne sont jamais recouverts par l’orchestre.
Le récitant est très en avant de la scène.
L’intelligibilité des textes est un test redoutable, ici reproduits avec précision et finesse.
Ce point est d’ailleurs presque exceptionnel avec le ruban : la voix a une présence ahurissante.
On peut « sentir » la présence de l’interprète
Pour le choeurs, dans les passages les plus forts, léger avantage de l’électrostatique, car on arrive là à la limite du trop chirurgical.
Le ruban est comme un scalpel dans l’analyse musicale. A un certain niveau c’est incisif !
Mais nécessaire, car dans les tutti, sans cette acuité on n’arriverait plus à distinguer clairement les interprètes dans des enchevêtrements de lignes mélodiques.
On retrouve bien la patte signature de MARTIN LOGAN, transparence, homogénéité, réalisme
Test 5 : Jazz instrumental : Manhattan Jazz Quintet. Autumn leaves. King Records import Japon. Vinyle / CD / SACD
Mon test favori, car la prise de son est exceptionnelle.
Et me permet aussi de passer du CD au SACD au vinyle, car la présence et la chaleur de l’enregistrement se révèle bien là, en analogique.
Sur le titre Antumn Leaves, on est emmené crescendo de la formation équilibrée à l’exposition du thème aux écarts de dynamique les plus incroyables quant les riffs de trompette se font de plus en plus forts et généralement la plupart des enceintes ne résistent pas à ce test.
Le niveau réaliste d’écoute ici doit être autour de 90db à 3m
Généralement sur les pointes de la trompette dans l’extrême aigu les tweeters scintillent, parfois même saturent.
Ici non. Rien ne bouge, même à haut niveau
La tenue en puissance de la F 20 est formidable, elle passe le test avec brio
Aucune distorsion aucune faiblesse dans la dynamique de l’enregistrement.
Test 6 : Michel JONASZ – La fabuleuse histoire de Mister Swing – Vinyle / CD
Ce disque me suit depuis un nombre d’années que je n’arrive pas à vous dire.
La bonne nouvelle, c’est qu’il vient d’être réédité (à la Fnac) en vinyle double LP et c’est toujours un test implacable.
C’est un enregistrement public, donc on pourrait s’attendre au pire.
Mais non, la voix offre une présence incroyable et les F 20 reproduisent ces sons veloutés et rauques venus de la gorge, chaque souffle, c’est saisissant de présence.
Seul bémol (sans doute qui fera la joie de certains) les graves de la guitare basse sont énormes.
Ceci me permet de tester le registre grave de la F20, en poussant un peu le volume : C’est là que l’on se rend compte des bienfaits de la membrane aluminium du hp de grave. Il reste sec, propre, bravo !
Test 7 : Mighty Mo Rogers – Redneck Blues
Voilà un album de blues rock comme il en existe peu.
La voix rocailleuse et grave de Mighty Mo Rogers est reproduite ici avec perfection.
L’orchestre qui l’accompagne est d’une redoutable efficacité.
Ça s’écoute fort (ou plus exactement au niveau réel de l’orchestre s’il était sur scène devant vous)
C’est puissant, ça balance et les F 20 ne se laissent pas maltraiter.
La voix est là, le grave est puissant et l’enceinte descend remarquablement proprement sans distorsion ni talonnage.
On voit là que les moteurs du boomer sont puissants.
Test 8 : 3e symphonie de Saint Saëns – Vinyle / SACD
Voilà un test que ceux qui ont déjà assisté à mes démonstrations n’ont certainement pas manqué.
La 3e symphonie de Saint Saens écrite pour orgue et orchestre symphonique recèle une de ces raretés : la note la plus grave de l’orgue, le Do naturel de 32 pieds à 16 hz (dès les premières mesures du 2e mvt)
Donc ce test me permet de voir comment une enceinte descend aussi bas (niveau inférieur de l’audition)
Ce 16 hz est ici reproduit, comme il doit : Ample mais discret.
Cela soulève le sujet de la bande passante annoncée par le constructeur de la F 20, qui est censée ne pas descendre en dessous de 25Hz.
Le présent test prouve le contraire, le 16 Hz est parfaitement audible et physiquement sensible. C’est dire que cette enceinte est en deçà des caractéristiques annoncées notamment des harmoniques inférieures.
A cette fréquence la sensation est aussi bien physique qu’auditive.
La pièce d’écoute est hélas trop petite pour une telle longueur d’onde, ce qui me laisse une certitude, c’est que dans une pièce plus grande ce serait encore mieux.
Donc oui, la F 20 passe ce difficile test avec succès, mais ce n’est pas le plus dur. En effet dans le dernier mouvement tout l’orchestre symphonique se joint à l’orchestre et le niveau monte très haut.
Je n’ai pas baissé le volume et j’ai eu raison.
Le message musical complexe de toute un orchestre symphonique avec orgue reste cohérent.
Honnêtement, la plupart des enceintes de cette catégorie de prix se mettent à genoux avec ce traitement, quand ce n’est pas l’ampli.
Mais non seulement la F 20 encaisse sans broncher, mais elle ne soumet pas l’étage final de l’ampli à la torture (ici un NAD M 33)
Les temps ont changé car à l’époque les MARTIN LOGAN avents une courbe d’impédance qui descendait en dessous des 2 ohms à certaines fréquences ce qui pouvait faire rendre l’âme aux amplis manquant de courant et de stabilité.
Conclusion
La MOTION F 20 bousculera tout ordre établi, car à ce niveau de prix :
- Elle sonne comme une électrostatique hybride, à la moitié du prix,
- Elle est, comme l’électrostatique, d’un réalisme sonore incroyable dans cette catégorie de prix grâce à la technologie du tweeter de type ruban, électriquement en tension,
- Elle est très raisonnable en termes d’électronique et de puissance requises.
Les tests avec les NAD M 33, C 399 et C 3050 furent convaincants (et conduit à un système aux alentours de 7.000 € avec le 3050)
J’attends de pouvoir les tester avec un MUSICAL FIDELITY A1 car je pense que ce sera un excellent couplage.
Un ampli à tubes ferai ici aussi une très bonne surprise …
A ma connaissance dans cette catégorie de prix, je ne vois pas de concurrente à la F 20
Rapport qualité prix : 10/10
MARTIN LOGAN est distribué en France par France MAJOR diffusion
Parmi les prochains tests :
- Streamer EVERSOLO DMP A 6
- Enceinte MARTIN LOGAN ESL 9
- Lecteur Blu-ray MAGNETARAR 900 (et aussi excellent lecteur SACD)
- Platine EAT MAJOR C
- ……
Confiez-moi vos produits, je serai ravi de les tester !